Surveillance GPS: Un Outil Controversé dans la Lutte Contre le Trafic de Drogue

Il y a des flics qui vous suivent dans une voiture banalisée. Et puis il y a les GPS invisibles qui bossent 24h/24, planqués sous votre pare-choc, sans même que le juge soit au courant. Bienvenue dans le nouveau Far West de la surveillance high-tech.

À Paris, une affaire vient secouer les bancs du tribunal: la police colle un traceur GPS sur la bagnole d'un mec soupçonné de trafic de drogue. Résultat ? Un mois de suivi discret, arrestation, preuve béton. Fin de l'histoire ? Pas vraiment.

L'avocat débarque avec une bombe: « Géolocaliser sans mandat, c'est comme fouiller votre maison sans frapper ». Et franchement… il marque un point.

Vos trajets sont-ils privés ? LOL, pas vraiment.

Ce qui fait flipper, c'est pas juste le GPS. C'est le silence. Pas de juge, pas de notification, pas de sonnette d'alarme. Juste une voiture qui vous espionne pendant des semaines.

Et on ne parle pas d'un gadget à 30 balles sur Amazon. Les traceurs utilisés captent tout : horaires, arrêts, itinéraires précis, parfois même si vous passez trop souvent devant une adresse "suspecte".

"🧠 Le plus ironique ? Si un policier vous suit à pied, il lui faut souvent un mandat. Mais un petit boîtier GPS bien placé ? Circulez, y'a rien à voir."

En résumé ?

• Flicage passif ou atteinte aux libertés ?
• Le droit à la vie privée, ça compte encore ?
• Jusqu'où peut-on aller sans juge ?

Tant qu'aucune loi claire n'encadre ces pratiques, le débat reste ouvert… mais votre coffre, lui, pourrait déjà être "tagué".